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Blog | VIH/SIDA : restez informés

VIH/SIDA : restez informés

L’abréviation VIH signifie virus de l’immunodéficience humaine. Il s’agit d’un rétrovirus qui infecte les cellules du système immunitaire de l’être humain (en particulier les lymphocytes T CD4+ et les cellules macrophages essentielles au système immunitaire des cellules).

GÉNÉRALITÉS

1) Qu'est-ce que le VIH ?
L'abréviation VIH signifie virus de l'immunodéficience humaine. Il s'agit d'un rétrovirus qui infecte les cellules du système immunitaire de l'être humain (en particulier les lymphocytes T CD4+ et les cellules macrophages essentielles au système immunitaire des cellules). Il détruit ou dérègle leur fonctionnement. Le virus agit en fragilisant progressivement le système immunitaire jusqu'au stade de l'immunodéficience.

2) Qu'est-ce que le sida ?
L'abréviation sida signifie syndrome d'immunodéficience acquise. Elle décrit l'ensemble des symptômes et des infections liés à une déficience acquise du système immunitaire. Il a été prouvé que le sida est la phase finale d'une contamination au VIH. Des indicateurs comme le niveau d'immunodéficience ou l'apparition de certaines infections servent à déterminer le passage de l'infection du stade du VIH à celui du sida.

3) Quels sont les symptômes du VIH ?
La plupart des personnes infectées ne savent pas qu'elles ont été contaminées. Aussitôt après l'infection, au cours de la séroconversion, certaines d'entre elles contractent une mononucléose infectieuse (accompagnée de fièvre, d'éruptions cutanées, d'articulations douloureuses et d'un gonflement des nœuds lymphatiques). La séroconversion correspond à la production d'anticorps contre le VIH et apparaît généralement un ou deux mois après l'infection.
Effectuer un dépistage (ou test du VIH) est le seul moyen pour une personne de savoir si elle est contaminée ou non.

4) À quel moment une personne a-t-elle le sida ?
Le terme « sida » correspond aux stades ultimes de l'infection au VIH.
En cas d'absence de traitement, la majorité des personnes porteuses du VIH développent les signes du sida 8 à 10 ans après leur contamination.

5) Combien de temps faut-il à une personne infectée par le VIH pour développer le sida ?
La durée varie grandement selon les personnes. Il peut s'écouler 10 à 15 ans, parfois plus, parfois moins, entre l'infection au VIH et les symptômes du sida. Une thérapie antirétrovirale peut aussi empêcher l'évolution vers le sida en réduisant la charge virale chez une personne contaminée.

TRANSMISSION

6) Où se trouve le VIH dans le corps ?
Le VIH se situe dans les fluides corporels tels que le sang, le sperme, les fluides vaginaux et le lait maternel.

Le VIH se transmet par pénétration (anale ou vaginale) lors d'un rapport sexuel, par transfusion sanguine, par le partage d'aiguilles contaminées dans les établissements de soin et chez les toxicomanes, mais aussi de la mère à l'enfant au cours de la grossesse, de l'accouchement et de l'allaitement.

Transmission par voie sexuelle
Le VIH se transmet par pénétration lors d'un rapport sexuel. Le risque de contamination est faible au cours d'une pénétration vaginale, car la transmission du VIH n'est pas très fréquente dans ce cas. Les études montrent que le taux de transmission au cours d'un rapport sexuel anal est 10 fois plus élevé que pour une pénétration vaginale. Une personne porteuse d'une infection sexuellement transmissible non traitée, causant en particulier des ulcères ou des sécrétions, est 10 fois plus exposée à une transmission du VIH ou à une contamination par le virus au cours d'un rapport sexuel.
Le sexe oral est considéré comme une pratique sexuelle à faible risque pour ce qui est de la transmission du VIH.

Transmission due au partage d'aiguilles et de seringues
Le risque de transmission du VIH est très élevé lors de la réutilisation et du partage d'aiguilles ou de seringues. Les personnes s'injectant des drogues peuvent réduire considérablement ce risque en utilisant systématiquement des aiguilles neuves et des seringues jetables ou en stérilisant correctement les aiguilles et les seringues réutilisables avant utilisation.

Transmission de la mère à l'enfant
Une mère peut transmettre le VIH à son enfant au cours de la grossesse, de l'accouchement et de l'allaitement. Le risque de transmission de la mère à l'enfant est généralement de 15 % à 30 % avant et pendant l'accouchement. Il dépend de plusieurs facteurs, en particulier de la charge virale de la mère au moment de la naissance (le risque augmente avec la charge). La mère peut également transmettre le virus à son enfant après l'accouchement, pendant l'allaitement. Le taux de transmission du VIH à l'enfant est extrêmement faible si la mère suit une thérapie antirétrovirale au cours de la grossesse et de l'allaitement.

Transmission au cours d'une transfusion sanguine
Le risque est extrêmement élevé (supérieur à 90 %) de contracter le VIH au cours d'une transfusion de sang et de produits sanguins contaminés. La sécurité du sang implique de soumettre tous les dons de sang à un dépistage du VIH et d'autres pathogènes transmissibles par le sang, ainsi que de sélectionner correctement les donneurs et donneuses.

7) Quel est le risque de transmission du VIH en embrassant sur la bouche ou avec la langue ?
Un baiser sur la bouche ne présente aucun risque et aucune étude ne révèle une transmission du virus par le biais de la salive en embrassant.
 
8) Quel est le risque de transmission du VIH en se faisant un piercing ou un tatouage ?
Un risque de transmission du VIH existe si des instruments contaminés ne sont pas stérilisés ou sont partagés entre plusieurs personnes. Les instruments conçus pour pénétrer dans la peau ne doivent être utilisés qu'une fois, puis jetés ou nettoyés et stérilisés correctement.
 
9) Quel est le risque de transmission du VIH en partageant un rasoir avec une personne infectée ?
Toute coupure impliquant un objet non stérilisé, comme un rasoir ou un couteau, peut transmettre le VIH. Il n'est pas conseillé de partager un rasoir sauf s'il est correctement stérilisé après chaque utilisation.
 
10) Avoir des relations sexuelles avec une personne vivant avec le VIH est-il sans danger ?
Avoir des relations sexuelles avec une personne vivant avec le VIH est sans danger si sa charge virale est rendue indétectable par un traitement. Cela est également sans risque si vous utilisez correctement un préservatif ou si vous prenez une prophylaxie pré-exposition en respectant les conseils de votre médecin.
 
11) Deux personnes vivant avec le VIH souhaitent avoir des relations sexuelles exclusives non protégées. Est-ce sans danger ?
Il est vivement recommandé à une personne vivant avec le VIH de ne pas être infectée par une autre souche du virus., sauf pour ce qui est de la prophylaxie pré-exposition qui ne s'applique jamais aux personnes vivant avec le VIH.

PRÉVENTION

12) Comment éviter l'infection par le VIH ?
Voici des méthodes pour se protéger d'une transmission sexuelle du VIH :
- Abstinence
- Relations monogames entre partenaires sains.
- Rapports sexuels sans pénétration.
- Utilisation systématique et correcte d'un préservatif masculin ou féminin.
- Sexe entre deux personnes, dont l'une vit avec le VIH, mais suit une thérapie antirétrovirale et possède une charge virale indétectable.
- Prophylaxie pré-exposition prise par des personnes qui ne sont pas infectées par le VIH.
- Circoncision masculine médicale volontaire. Réduit les chances d'une transmission du VIH de la femme à l'homme.

Autres moyens d'éviter une infection :

- Si vous consommez de la drogue par injection, utilisez toujours des aiguilles et des seringues neuves à usage unique ou correctement stérilisées avant utilisation ou tournez-vous vers d'autres mesures de prévention comme une thérapie de substitution aux opiacés.
- Assurez-vous que le sang et les produits sanguins sont soumis à un dépistage du VIH et que les normes de sécurité du sang ont été mises en place.

13) Les préservatifs sont-ils efficaces pour lutter contre le VIH ?
Les préservatifs à la qualité certifiée sont les seuls produits actuellement disponibles qui protègent contre une infection sexuelle du VIH et d'autres infections sexuellement transmissibles. Lorsqu'ils sont utilisés correctement, les préservatifs constituent un moyen efficace pour empêcher les infections au VIH chez la femme et l'homme.
Pour une protection optimale, les préservatifs doivent être utilisés correctement et systématiquement. Ils peuvent glisser ou rompre en cas d'utilisation incorrecte, ce qui diminue leur effet protecteur.  

14) Qu'est-ce que le préservatif féminin ?
Un préservatif féminin est une méthode de contraception contrôlée par la femme. Il forme une barrière. Le préservatif féminin est une gaine solide, souple et transparente en polyuréthane. Il s'insère dans le vagin avant la relation sexuelle. Il épouse entièrement le vagin. Associé à une utilisation correcte et systématique, il protège aussi bien des risques de grossesse que des infections sexuellement transmissibles comme le VIH. Le préservatif féminin n'a pas d'effet secondaire ni de risque connu. Il est disponible sans ordonnance et ne nécessite pas l'intervention de personnel de santé.

15) Qu'est-ce que le traitement préventif post-exposition ?
Le traitement préventif post-exposition (PPE) combine des médicaments, des tests en laboratoire et des conseils. Le traitement PPE doit commencer quelques heures après une exposition potentielle au VIH et dure quatre semaines environ. A priori, au vu de l'état actuel de la recherche, une prise rapide des médicaments après l'exposition potentielle au VIH (dans l'idéal dans les deux heures et moins de 72 heures après cette exposition) peut empêcher l'infection au VIH.

16) Comment éviter la transmission de la mère à l'enfant ?
La transmission du VIH d'une mère vivant avec le VIH à son bébé peut avoir lieu au cours de la grossesse, de l'accouchement ou après la naissance, pendant l'allaitement. En cas d'absence de toute intervention, on estime qu'une mère vivant avec le VIH transmettra dans 15 à 30 % des cas l'infection au cours de la grossesse et de l'accouchement. L'allaitement augmente le risque de transmission de 10 à 15 %. Ce risque dépend de facteurs cliniques et peut varier selon le rythme ainsi que la durée de l'allaitement.
Des progrès importants ont été accomplis pour la réduction du nombre d'enfants naissant avec le VIH. Le risque pour une femme vivant avec le VIH de transmettre le virus à son enfant peut être ramené à 5 % ou moins grâce à un traitement antirétroviral efficace pendant la grossesse, lors de l'accouchement et pendant la période d'allaitement.

17) Quelles procédures le personnel de santé devrait-il respecter pour éviter toute transmission dans un cadre sanitaire ?
Il est conseillé au personnel de santé d'adopter les précautions universelles. Les précautions universelles désignent les règles de contrôle des infections élaborées pour protéger le personnel ainsi que les patientes d'une exposition aux maladies transmissibles par le sang et certains fluides corporels.
Les précautions universelles impliquent de :
- manipuler et éliminer conformément les instruments tranchants (outils pouvant causer des coupures ou des perforations, dont les aiguilles, les aiguilles hypodermiques, les scalpels et autres lames, couteaux, nécessaires à perfusion, scies, tessons de verre et clous).  
- Se laver les mains avec du savon et de l'eau avant et après chaque intervention.
- Utiliser des équipements de protection comme des gants, une blouse, un tablier, un masque et des lunettes, en cas de contact direct avec le sang et les fluides corporels.
- Éliminer correctement les déchets contaminés avec du sang ou des fluides corporels.
- Désinfecter correctement les instruments et autres équipements contaminés.
- Manipuler correctement les tissus salis.

De plus, il est recommandé que l'ensemble du personnel sanitaire veille à éviter les blessures causées par des aiguilles, des scalpels ainsi que d'autres instruments et dispositifs tranchants. Conformément aux précautions universelles, le sang et les fluides corporels de tout un chacun sont considérés comme infectés avec le VIH et d'autres virus potentiels, peu importe le statut connu ou supposé de la personne.

18) Le VIH peut-il être soigné ?
Il n'est pas possible de soigner le VIH. Il existe toutefois un traitement efficace, qui, s'il est commencé rapidement et pris régulièrement, permet à une personne vivant avec le VIH d'avoir une qualité et une espérance de vie similaires à celles des personnes saines.
 
19) Quel traitement est disponible ?
Des médicaments antirétroviraux sont utilisés pour traiter l'infection au VIH. Ils bloquent la prolifération du VIH dans l'organisme. Lorsqu'une personne vivant avec le VIH suit une thérapie antirétrovirale efficace, elle n'est plus infectieuse.
 
20) Comment fonctionnent les antirétroviraux ?
Le VIH produit des copies de lui-même à l'intérieur d'une cellule infectée, ce qui lui permet de contaminer ensuite d'autres cellules saines dans l'organisme. Plus le virus infecte de cellules, plus son impact sur le système immunitaire augmente (immunodéficience). Les antirétroviraux ralentissent la prolifération et, par conséquent, la propagation du virus dans l'organisme. Ils interfèrent de différentes manières dans ce processus.
Inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse : Le VIH a besoin d'une enzyme dite de transcriptase inverse pour créer de nouvelles copies de lui-même. Ce type de médicaments inhibe la transcriptase inverse en empêchant le processus de duplication du matériel génétique du virus.
Inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse : ce type de médicaments interfère également avec la duplication du VIH en se fixant sur l'enzyme de transcriptase elle-même. L'enzyme ne peut plus fonctionner correctement et cesse de produire de nouvelles particules du virus dans les cellules infectées.
Inhibiteurs de la protéase : la protéase est une enzyme digestive. Elle est essentielle à la duplication du VIH pour générer de nouvelles particules du virus. Elle décompose les protéines et les enzymes dans les cellules infectées qui vont ensuite infecter d'autres cellules. Ces inhibiteurs empêchent la protéase de briser les liaisons des protéines et ralentissent ainsi la production de nouvelles particules du virus.
Des essais cliniques sont menés actuellement sur d'autres médicaments qui inhibent d'autres étapes du cycle du virus (comme l'entrée du virus dans une cellule et sa fusion avec cette dernière).
 
 
21) Combien de temps attendre avant de faire un test du VIH suite une exposition potentielle ?
Il est généralement conseillé d'attendre trois mois après une éventuelle exposition avant de se faire dépister. Même si les tests de dépistage des anticorps anti-VIH sont très performants, il faut attendre jusqu'à deux mois selon le test utilisé. Cela correspond à la période entre l'infection au VIH et l'apparition d'anticorps détectables. Cette période est réduite à trois semaines environ pour les tests du VIH les plus performants recommandés actuellement.
 
22) Pourquoi se faire dépister ?
Connaître votre statut sérologique présente deux avantages. D'une part, si vous êtes infecté, vous pouvez démarrer aussitôt un traitement pouvant prolonger votre vie de plusieurs années (voir question 36). D'autre part, si vous savez que vous êtes infecté, vous pouvez prendre toutes les précautions nécessaires pour éviter de transmettre le VIH. Si vous n'êtes pas infecté, vous pouvez apprendre comment vous protéger à l'avenir du VIH.
 
23) Où se faire dépister ?
Vous pouvez faire un dépistage à différents endroits : chez un médecin, dans les services de santé près de chez vous, dans les hôpitaux, les cliniques de planning familial et les sites dédiés au dépistage du VIH. Essayez toujours de faire le test à un endroit où vous pouvez recevoir des conseils sur le VIH.  Vous pouvez aussi faire un test du VIH de votre côté en utilisant un kit d'autotest.

24) Les résultats de mon test sont-ils confidentiels ?
Quiconque fait un test du VIH doit donner son accord en toute connaissance de cause avant le dépistage. Les résultats doivent rester totalement confidentiels.
Voici les différents types de tests disponibles :
Test confidentiel du VIH : les professionnels de santé manipulant le test du VIH garantissent la confidentialité des résultats contenus dans leurs archives. Les résultats ne peuvent pas être communiqués à des tiers sans l'autorisation écrite de la personne concernée.
Test anonyme du VIH : le nom de la personne concernée n'est pas utilisé pour les besoins du test. Cette personne reçoit les résultats grâce à un code attribué au test. Aucune trace pouvant établir un lien entre cette personne et le test n'est conservée.

La confidentialité partagée est fortement recommandée. Elle concerne les personnes suivantes : membres de la famille, partenaires de vie, personnel soignant, personnes de confiance, etc. Il faut toutefois faire attention en communiquant les résultats, afin d'éviter les discriminations au sein de l'environnement social, professionnel et des services de santé. Seule la personne testée peut décider de la confidentialité. Même si le résultat du test du VIH doit demeurer confidentiel, des conseillers, des professionnelles des soins ou du travail social peuvent aussi avoir besoin de connaître le statut d'une personne contaminée afin d'apporter des solutions appropriées.

25) Que faire si j'ai le VIH ?
Grâce aux nouveaux traitements, les personnes contaminées par le VIH peuvent maintenant vivre longtemps et en bonne santé. Assurez-vous que votre médecin connaît les traitements contre le VIH. Des professionnelles de santé ou des spécialistes en conseil sur le virus peuvent vous conseiller et vous aider à trouver le ou le médecin ad hoc.
 
26) Mon test du VIH est négatif. Que cela signifie-t-il ?
Un test négatif signifie qu'aucun anticorps contre le VIH n'a été détecté dans votre sang lors du dépistage. Si votre statut sérologique est négatif, assurez-vous qu'il le demeure : prenez connaissance des modes de transmission du VIH et évitez les comportements à risque.
Tout risque d'infection n'est cependant pas encore exclu, car votre système immunitaire a besoin de trois mois maximums pour produire suffisamment d'anticorps visibles au cours d'un test sanguin. Il est recommandé de refaire le test plus tard et de prendre les précautions nécessaires en attendant. Au cours de cette période, une personne est particulièrement infectieuse et doit prendre les mesures adaptées permettant d'éviter toute transmission.

IDÉES REÇUES

27) Puis-je avoir le VIH à cause d'une piqûre de moustique ?
Un moustique ou tout autre insecte ne peut pas transmettre le VIH en piquant. Même si le virus pénètre dans un moustique ou dans un autre insecte se nourrissant de sang ou piquant, il ne peut pas s'y reproduire. Les insectes ne pouvant pas être infectés par le VIH, ils ne peuvent pas le transmettre au prochain humain qu'ils piqueront.

28) Dois-je avoir peur d'une contamination par le VIH en faisant du sport ?
Aucune preuve n'existe d'une transmission du VIH en faisant du sport.

29) Puis-je avoir plusieurs infections sexuellement transmissibles à la fois ?
Oui, vous pouvez avoir plusieurs infections sexuellement transmissibles (IST) à la fois. Chacune nécessite son propre traitement. Vous ne pouvez pas vous immuniser contre les IST, par conséquent vous pouvez attraper plusieurs fois la même infection. Souvent, les hommes et les femmes ne remarquent aucun signe avant-coureur juste après la contamination, mais peuvent toujours infecter leur partenaire sexuel.

30) Si je suis une thérapie antirétrovirale, puis-je transmettre le VIH ?
Vous ne pouvez pas transmettre le VIH si votre thérapie antirétrovirale est efficace et que le virus est indétectable. Aussi il est recommandé d'assurer le suivi de la charge virale dans le cadre du traitement des personnes vivant avec le VIH.