Afin d’offrir des services de qualité et de responsabiliser les différentes parties prenantes dans la réalisation des objectifs de développement durable, la mise en place de mécanismes de gouvernance inclusifs s’est naturellement imposée et prolongée lors de la mise en œuvre des projets. Une limitation du champ d’action des dirigeants dans les statuts de l’association, une démocratie interne ayant permis aux personnels d’être plus motivés et de se sentir particulièrement impliqués dans le devenir de l’organisation et une intégration de tous les acteurs intervenants dans la chaîne de projet sont là quelques déclinaisons de la gouvernance inclusive et avisée de l’organisation. Consciente que le facteur humain est déterminant, si non le plus déterminant, l’organisation a engagé une vision commune qui repose sur la transparence, l’implication et la poursuite des projets collectifs.
C’est ainsi que l’organisation veille à une bonne circulation de l’information, officielle et continue, qui permet d’établir un lien entre les dirigeants et leur équipe. Elle donne aux employés une idée juste de la situation de l’organisation parce que la prise de décision est bien souvent collégiale.
Aussi, l’organisation a fait de la transparence un gage de qualité et de confiance non seulement pour son personnel, mais aussi pour ses partenaires et le gouvernement. Ainsi, le mode de recrutement du personnel tout autant que celui des prestataires obéit à des procédures strictes basées sur des critères objectifs bien déterminés. En commandant des audits internes et externes de comptes, l’organisation, à chaque fois, évalue ses procédures de gestion et donne à ses partenaires un gage fiable de transparence.