Depuis 1997 (soit 25 ans), l’organisation agit de concert avec les décideurs politiques, les partenaires nationaux, régionaux et mondiaux de la santé, la société civile, le monde universitaire, le secteur privé, les collectivités locales, les autorités religieuses et traditionnelles, les médias et les célébrités pour aider à développer, mettre en œuvre des politiques de développement social.
PJD a une assise communautaire stable et profondément incrustée au sein de toutes les collectivités nationales afin de ne laisser aucune communauté pour compte. Avec le souci d’être beaucoup plus proche des couches défavorisées partout où la nécessité s’impose, PJD c’est : un (01) bureau central, trois (03) bureaux régionaux, 27 salariés directs, soixante (60) partenaires de mise en œuvre des activités (40 OBCs, 20 Centres multifonctionnels de jeunes), dix (10) points focaux, plus cinq cent cinquante (550) volontaires et bénévoles et près de cinq mille (5000) membres et sympathisants.
Toute cette base rend compte, si besoin en était encore de le prouver, de l’intégration de l’organisation au sein de la majeure partie des communautés et permet à PJD un déploiement rapide et actif sur le terrain avec l’assurance de mener à bien tous les projets les plus complexes et de toucher efficacement la cible où qu’elle se trouve sur l’étendue du territoire national.
En tant que sous-bénéficiaire du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, PJD est bien conscient qu'après plus d'une décennie de réponses communautaires au VIH/sida, une action conjointe à travers de multiples approches de prévention est nécessaire pour mettre fin à la transmission. Épidémie de VIH. Plusieurs méthodes et interventions se sont révélées très efficaces pour réduire et prévenir l'infection par le VIH, notamment les préservatifs masculins et féminins, l'utilisation de médicaments antirétroviraux tels que la PrEP, la communication sur le changement de comportements pour limiter le nombre de partenaires sexuels et le traitement des patients infectés par le VIH pour réduire la charge virale et prévenir la propagation du virus.
Cependant, la stratégie basée sur une dense communication pour la modification de comportements reste et demeure une action salutaire et indispensable qu’en à la réduction de nouvelles infections.